Sélectionner une page
Etre trop gentil, ou comment poser un cadre à la gentillesse

Etre trop gentil, ou comment poser un cadre à la gentillesse

L’histoire de Cendrillon n’est pas de prime abord un hymne à la gentillesse. Une douce, belle et serviable jeune femme se fait malmener par une méchante belle-mère et ses deux exécrables filles.

Cette histoire peut laisser des traces dans notre inconscient, car cela questionne la gentillesse. La gentillesse peut être assimilée à un défaut. La croyance sous-jacente serait celle-ci : si on est trop gentil, on peut profiter de nous. Et ça, cela peut faire peur! Alors, à partir de quel moment, être gentil devient un problème?

Dans cet article, nous allons donc nous intéresser à la gentillesse mais aussi à l’estime de soi. Les deux sont liés, nous allons voir comment.

 

C’est quoi la gentillesse ?

La gentillesse peut être perçue comme un vilain défaut. « Cette personne est vraiment trop gentille, regarde comme elle se fait marcher dessus ! » ou encore « J’en ai marre de tout faire pour les autres, je suis trop gentille, je n’ai jamais de retours, tout le monde s’en fout. » On serait tentés de réduire la gentillesse à un comportement inadapté, à un problème de confiance en soi : « Cette personne n’a pas d’autre choix que d’être gentille pour être acceptée. »

Voyons la définition du dictionnaire :

« La gentillesse est un comportement altruiste destiné à prendre soin des autres, tenant en compte la sensibilité d’autrui afin de ne pas le brusquer ou l’offusquer. »

En fait, ça a l’air d’être plutôt une jolie qualité d’être quelqu’un de gentil. « Prendre soin des autres » est une belle valeur, en plus en « tenant compte de la sensibilité d’autrui ». Alors à quels moments cette qualité devient une tare ?

 

Les limites à la gentillesse

Cette qualité devient une tare dès lors que la personne y perçoit des limites. Que ce soit sur la plan personnel ou au travail, en amour, avec ses amis…, certaines situations peuvent laisser un goût amer. Généralement, la prise de conscience se fait au travers du regard des autres.

Une personne  peut faire plaisir aux autres jusqu’à s’y perdre ( plus d’infos sur le côté « fais plaisir » dans cet article ). S’y perdre dans la mesure où elle n’a jamais un retour équivalent à ce qu’elle donne. Par conséquent, elle peut avoir l’impression que les autres profitent d’elle ou n’en ont rien à faire de sa personne. Comme elle va avoir tendance à se sentir inutile, elle redouble d’attentions pour faire plaisir, puis le cercle vicieux s’enclenche…

On s’aperçoit donc que la gentillesse doit avoir un cadre. Celui-ci, dans la mesure où il est tout à fait sain permet d’éviter de trop grandes frustrations et déconvenues. Et qu’est-ce qui donne un cadre à la gentillesse ? Je vous le donne en mille, l’estime de soi !

 

L’estime de soi, un cadre pour soi et pour les autres

Lorsque l’on travaille l’estime de soi, on crée un cadre sécurisant pour soi et pour les autres.

Le 1erpoint sera de se connaître. En se connaissant, on prend conscience de ses capacités et de ses limites. Apprendre sur soi, c’est la condition sine qua non pour aller vers un 2ndobjectif qui sera de s’affirmer. Ce à quoi je dis oui, ce à quoi je dis non !

S’affirmer, ce n’est pas un gros mot, ce n’est pas parce qu’on s’affirme que l’on devient méchant, bien au contraire. Il s’agit de faire valoir ses désirs, ses besoins, ses opinions et ses 
valeurs et agir en accord avec eux, sans agressivité ni
 concessions inutiles.

L’affirmation de soi, c’est la capacité d’exprimer ce que l’on pense, ce que l’on ressent, ce que l’on veut tout en respectant ce que l’autre pense, ressent et veut. C’est pouvoir « dire non » sans agressivité, répondre avec calme à une critique, demander sans toujours s’excuser.

J’aime cette phrase qui dit « il vaut mieux se définir que se défendre. » Quand on se connaît et l’on s’affirme, nous avons le choix dans nos relations, et forcément la gentillesse y est la bienvenue.

 

Les petits trucs de Mam’coach

  • Lister les expériences négatives vécues « à cause » de la gentillesse. Sont-elles devenues des croyances limitantes ? Si oui, les ramollir avec des croyances positives.
  • Se poser la question : est-ce que je me traite aussi bien que les personnes à qui je fais plaisir ? Si la réponse est non, rétablissez l’équilibre en prenant soin de vous. Les attentions portées vers les autres sont parfois ce que nous avons besoin pour nous-mêmes…
  • Lister ses capacités, désirs, besoins, valeurs et leurs contraires. Se connaître est un premier pas à l’estime et l’affirmation de soi.
  • Cultiver l’empathie. Quand persistent certaines incompréhensions, se mettre à la place de l’autre permet indéniablement de modifier son propre point de vue et d’accueillir des éléments de réponse à nos propres comportements.
  • Faire de la gentillesse un choix, elle a plus que jamais sa place dans nos vies.
  • Pour aller plus loin, voici 10 conseils sur l’affirmation de soi.

 

Alors, est-ce que Cendrillon a été trop gentille ? Quelque part oui, car elle a passé toutes une partie de sa vie à s’oublier. Aller au bal a été une manière de s’affirmer et s’affirmer lui a permis de changer sa vie.

Même si nous ne sommes pas Cendrillon, nous pouvons aussi avoir deux vies. Une 1reoù l’on fait en fonction des autres, et la 2me où l’on fait pour soi et cela rend service aux autres. 😉 Vous souhaitant de belles vies…

 

Pour recevoir mes mails, tous les mercredis à 8h, cliquer ici .

Pour recevoir gratuitement la fiche outil « Construire sa vision de vie », cliquer ici.

Vous pouvez aussi me retrouver ici pour découvrir mes accompagnements et ateliers.

 

 

Hakuna Matata ou les Clés du vrai bonheur

Hakuna Matata ou les Clés du vrai bonheur

« Hakuna Matata ! Mais quelle phrase magnifique !

Quel chant fantastique !

Ces mots signifient que tu vivras ta vie

Sans aucun souci – philosophie

C’est fastoche. Ces deux mots régleront tous tes problèmes ! »

Hakuna Matata !  Cette chanson à elle seule contribue à redonner le sourire. Qui n’a jamais rêvé de vivre sans aucun souci ? Timon et Pumba dans le Roi Lion nous livre une partie de la recette du bonheur. Pour le reste, je vais me référer à l’ouvrage du Dr Deepak Chopra Les sept lois spirituelles du vrai bonheur.

Dans cet article, nous allons donc nous intéresser aux clés du bonheur pour simplifier sa vie et atteindre la sérénité.

 

La quête du bonheur, c’est quoi en fait ?

« La plupart des gens ont l’impression que le bonheur résulte du succès, de la richesse, de la santé et de bonnes relations avec autrui. La société exerce sur nous une pression colossale pour nous persuader que tout cela équivaut au bonheur. Cependant, c’est une erreur. Le succès, la richesse, la bonne santé et les bonnes relations sont des sous-produits du bonheur, ils n’en sont pas la cause. Quand vous êtes heureux, vous avez plus de chances d’effectuer des choix qui mènent à toutes ces choses. Le contraire n’est pas vrai. »  Deepak Chopra

Donc, si l’on suit sa pensée, le bonheur est d’abord à aller chercher dans un processus interne. On comprend mieux pourquoi certaines personnes vont à la quête du bonheur dans le dénuement le plus total. Se concentrer sur l’essentiel, son soi profond sont des pré-requis au bonheur.

On a trop tendance à laisser entre les mains d’autrui ou à des conditions, son bonheur. C’est effectivement un leurre. « Si j’avais ça, je serais plus heureux… », « si telle personne agissait comme ça, je serais mieux… » Ce sont des conditions qui ne fonctionnent qu’un temps. Puis, vient l’évidence que les ressources sont internes. Tout travail de développement personnel commence par soi, uniquement par soi. C’est là que le vrai voyage commence pour conduire son existence.

 

Les 7 clés du bonheur

  • Clé n°1 : Soyez conscient de votre corps

Le corps est intelligent. D’ailleurs, c’est lui qui envoie les messages lorsqu’il y a des dysfonctionnements. Prendre conscience de son corps permet de rétablir l’équilibre quand il y en a besoin. Ne dit-on pas un « esprit sain dans un corps sain »?  On ne peut pas dissocier l’esprit du corps…

  • Clé n°2 : Ayez une bonne opinion de vous-même

Ce qui revient à dire de s’aimer inconditionnellement. Quand on a des enfants ou les personnes qui nous sont très proches, on connaît cet amour. On a conscience de leurs qualités et de leurs défauts, pourtant on les aime plus que tout. Il s’agit de s’accorder à soi ce même amour.

  • Clé n°3 : Détoxifiez votre vie

La tendance à se créer des besoins, à accumuler des biens matériels, à se noyer dans un flot d’informations négatives peut avoir des effets toxiques sur notre vie. Aller à l’essentiel, se libérer du superflu permettent d’alléger ses pensées et son existence.

  • Clé n°4 : Renoncez à avoir raison

Avoir raison revient à dire que quelqu’un d’autre à tort. Mais comme notre identité est basée sur un socle de croyances, qui peut dire réellement qu’il a raison ? Une fois qu’on se détache du fait d’avoir raison, on admet finalement que tout le monde a un avis et qu’en soi cela est respectable. Chaque point de vue est valable en ce monde et la vie devient plus douce.

  • Clé n°5 : Focalisez votre attention sur le présent

Le problème de beaucoup de personnes, c’est d’avoir un pied dans le passé et l’autre dans l’avenir. Ce qui irrémédiablement conduit à ressentir de l’angoisse et/ou de l’anxiété. Le seul temps qui compte est ici et maintenant. Cela crée un espace et un temps pour accueillir le bien-être.

  • Clé n°6 : Voyez le monde en vous

Comme nous sommes constitués d’un système de croyances, si nous avons des idées négatives, le monde devient alors négatif. Si nous avons les idées positives, le monde deviendra positif. Nous sommes les créateurs de ce monde. Voir le monde en soi, c’est le faire vibrer de nos plus belles intentions.

  • Clé n°7 : Vivez pour atteindre l’illumination

Il s’agit là de prendre conscience de l’unité de ce monde, où l’amour devient un guide. Ce n’est pas un état mystique, il s’agit d’un profond lâcher-prise, notre seule mission devient alors d’être.

 

Comment savoir que l’on est sur la bonne voie ?

J’ai relevé ci et là dans l’ouvrage de Deepak Chopra des phrases ou des résolutions qui vont vous permettre d’analyser par vous–même si vous êtes sur la voie du bonheur.

  • « Mon bonheur se mesurera à la légèreté que je ressens dans mon corps. »
  • « Je m’observerai dans des situations difficiles sans porter de jugement. »
  • « J’assumerai la responsabilité de mes propres réactions et je ne blâmerai pas autrui. Il m’appartient de changer tout réaction qui me rend malheureux. »
  • « Un seul et unique point de vue correct n’existe pas. »
  • « J’accueillerai ce qui est, et à ce qui est je n’ajouterai ni ce qui a été ni ce qui pourrait être. »
  • « C’est seulement en faisant l’expérience de l’être pur que je pourrai trouver une base solide, à tout ce que je pense et à tout ce que je fais. »
  • « Se réaliser signifie dépasser l’expérience quotidienne. »

 

Les petits trucs de Mam’coach

  • Ecouter la chanson « Hakuna Matata », elle met de bonne humeur ! Idéal pour commencer une bonne journée…
  • Accueillir les douleurs de son corps et les émotions comme une source d’information. C’est un signe de déséquilibre.
  • Prendre la responsabilité de ses réactions et activer le changement. Le bonheur ne se recherche pas, il se vit, et pour ça il faut adopter une psychologie positive.
  • Donner, pour le plaisir de donner, et des moments, plus que des objets… L’amour est un guide précieux.
  • Avoir toujours des objectifs clairement définis, cf. cette vidéo absolument géniale de l’équipe de Et Tout le monde s’en fout

 

Il n’y a plus qu’à ! Hakuna Matata ! Je vous souhaite le meilleur, que ces clés pour apportent bonheur et joie dans votre vie.

 

Pour recevoir mes mails, tous les mercredis à 8h, cliquer ici .

Pour recevoir gratuitement la fiche outil « Construire sa vision de vie », cliquer ici.

Vous pouvez aussi me retrouver ici pour découvrir mes accompagnements et ateliers.

 

 

Miroir, miroir … Dis-moi qui est la plus … ?

Miroir, miroir … Dis-moi qui est la plus … ?

Le miroir dans Blanche-Neige ou Comment mettre à profit la comparaison ?

 

La comparaison… Cela commence tôt dans l’enfance. On veut être la plus belle ou le plus beau, la plus forte ou le plus fort, on veut être la ou le plus … TOUT. L’enjeu est bien d’être l’enfant la ou le plus aimé(e) de ses parents. Combat évidemment vain, lorsque l’on comprend que l’amour se décuple à l’infini.

Malgré tout, elle est tenace cette petite voix à l’intérieur qui nous somme d’être toujours la ou le plus, la ou le moins ou d’être exactement comme. Pourtant nous connaissons tous l’histoire de Blanche-Neige et savons à quel point la comparaison peut être destructrice.

Dans cet article, nous allons donc nous intéresser à l’histoire de Blanche-Neige pour aborder les effets dévastateurs de la comparaison lorsqu’elle n’est pas utilisée à bon escient. Puis, nous verrons sur quels leviers travailler pour tirer profit d’une comparaison constructive.

 

Blanche-Neige et les sept nains – l’histoire

Blanche-Neige est une belle jeune princesse qui vit auprès de son père (le roi) et de sa belle-mère (la reine). La reine est malveillante et particulièrement jalouse de la beauté de sa belle-fille. Elle demande quotidiennement à son Miroir magique : « Qui est la plus belle du royaume ?», et aime entendre en réponse qu’il s’agit d’elle-même.

Sauf qu’un jour, la Reine interroge son miroir, et celui-ci lui répond que la plus belle du royaume est dorénavant la princesse Blanche-Neige.

La Reine ordonne alors à son fidèle chasseur d’emmener la princesse Blanche-Neige dans les bois et de la tuer. Pour preuve de la mort, elle lui demande de ramener son cœur dans un coffret à bijoux.

Le chasseur ne peut pas accomplir cette tâche morbide et ordonne à la princesse Blanche-Neige de s’enfuir dans la forêt. Il tue à sa place une biche dont il ramène le cœur à la méchante reine…

Les effets dévastateurs de la comparaison

Saloperie de miroir qui dit tout ce que l’on ne veut pas entendre ! La reine, si soucieuse d’être « la plus », est rongée par la haine et le désir de vengeance. Et pour être la plus belle, elle est prête aller très loin. Le poison donné à travers la pomme est symbolique. En effet, la première personne empoisonnée, c’est elle.

Elle est empoisonnée par la comparaison et la jalousie qui en découle. Et plutôt qu’elle-même changer, accepter, elle préfère anéantir ce qui semble être un frein à son bien-être : l’autre, personnifiée dans la pureté et la beauté de Blanche-Neige.

Sans être cette méchante sorcière, nous avons tous tendance à nous comparer. Nous comparer à ce que les autres ont, font ou sont. Et cela peut parfois être nuisible. C’est nuisible dans le sens où cette comparaison restée comme telle induit des émotions et/ou des sentiments désagréables.

Cela peut être de la jalousie, de la colère mais aussi la peur. Celle-ci peut d’ailleurs prendre une grande place dans les ressentis : la peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas y arriver, la peur d’être nul(le), la peur, la peur et encore la peur…

Sauf que cette peur n’est pas juste pour l’autre, pour la personne avec qui on se compare. Il y d’ailleurs fort à parier qu’elle ne se doute pas de ce qui se passe dans la tête de la personne qui se compare à elle.

Et surtout, la jalousie, la colère ou la peur ne sont pas justes pour la personne qui la ressent. Vivre continuellement avec ces ressentis n’ont rien de bon pour le mental, le moral, la santé.

Utiliser la comparaison à bon escient

Nous l’avons vu, se comparer peut-être vraiment dévastateur. Certains d’iront qu’il n’y a rien de bon dans la comparaison. Je ne suis pas tout à fait d’accord, la comparaison peut être utilisée à bon escient.

Elle peut constituer une source d’information pour nous améliorer et faire des pas vers Soi. Car l’une des quêtes que nous avons tous, c’est quand même d’être vraiment soi et de vivre pour soi. Vous me direz dans ce cas, comment se comparer devient utile ?

Exercice 1

Imaginons qu’un comportement chez une autre personne vous agace, vous irrite, ou que cette personne fasse naître chez vous un sentiment de jalousie, de haine ou d’admiration. Ce qui fait naître ces ressentis, on appelle ça une zone d’ombre. Car de prime abord, nous n’avons pas conscience que c’est une information.

Maintenant décrivez une personne qui vous agace ou au contraire que vous idéalisez, décrivez la qualité ou le trait négatif qui vous énerve ou que vous admirez. 
Que pouvez-vous apprendre de ce type de personne ? 
Demandez-vous, si vous avez besoin de cette qualité ou de ce trait de caractère pour vous.

Il s’agit donc d’apprivoiser son ombre, de réintégrer dans la zone du conscient les éléments occultés son être et de se les réapproprier afin d’atteindre l’épanouissement le plus complet.

Exercice 2

Imaginons aussi que nous identifions chez nous un manque en ce qui concerne la confiance en soi. J’évoque la confiance en soi, car pour dire vrai, c’est un sujet qui est largement évoqué lors des coachings.

Dans l’exercice suivant, il s’agit de penser à une personne qui nous laisse penser qu’elle a vraiment confiance en elle. Se poser les questions suivantes : Qu’est-ce qui nous fait dire que cette personne a confiance en elle ? qu’elle a du charisme ? la classe ? Cela peut-être un sourire à toute épreuve, de la répartie, une capacité à s’adapter à des situations différentes…

Une fois les critères listés, les classer par ordre d’importance, puis mettre une note sur là où vous en êtes aujourd’hui par rapport à ce critère. Enfin, se demander quelle action mettre en place pour passer au niveau supérieur. Ne pas négliger l’action, elle est toujours une condition nécessaire pour gonfler la confiance en soi, et plus largement l’estime de soi !

Les petits trucs de Mam’coach

  • Se connecter à ses émotions, elles sont une source précieuse d’information
  • Travailler ses zones d’ombre
  • Gonfler l’estime de soi par la mise en action
  • Pour recevoir mes mails, tous les mercredis à 8h, cliquer ici .
  • Pour recevoir gratuitement la fiche outil « Construire sa vision de vie », cliquer ici.
  • Vous pouvez aussi me retrouver ici pour découvrir mes accompagnements et ateliers.

 

Il n’y a plus qu’à ! Je vous souhaite le meilleur, que la comparaison vous mène à vous reconnecter à vous-même. 😉

 

 

 

Raiponce et le confinement

Raiponce et le confinement

Raiponce et le confinement

« Sept heures, je me réveille et dehors il fait clair

Vite, je balaye, il faut que la maison brille

Je cire, je frotte, je range et je chasse la poussière

Je nettoie chaque placard jusqu’à sept heures et quart

 

Ensuite je lis un livre et même deux ou trois

J’ajoute quelques couleurs qui ne plaisent qu’à moi

Puis c’est guitare, tricot, gâteaux et quelquefois

Je me demande où est la vraie vie

 

Après-midi c’est puzzle, fléchettes et cookies

Papier mâché, danse classique, échec et mat

Poterie, théâtre de marionnettes et bougies

Gymnastique, arts plastique, corde, et Pascal m’épate !

 

Puis je relis mes livres, je rêve d’aventures… »

Voilà, voilà ! C’est la routine quotidienne de Raiponce alors prisonnière dans sa tour. Ca a commencé il y a bien longtemps, en 2020…

Raiponce– l’histoire vraie

Il était une fois une terrible maladie qui sévissait dans un royaume enchanté. Pour protéger les habitants, il était décidé que chacun devait rester chez soi. Les personnes se plaisaient quand même à rêver d’un ailleurs, et se demandaient ce qu’était la vraie vie.

Telle Raiponce, qui confinée dans son appartement, s’est mise à chanter sa vie en déguisant son petit lézard. Trop mignon, un petit lézard habillé avec un tutu !

Sa vie était faite de routines pour ne pas sombrer. Elle fait le ménage, la cuisine, fait de la musique, lit… Emma Bovary avec plus de cheveux en gros…

Oui, Raiponce a les cheveux très longs. Elle ne peut pas aller chez le coiffeur, confinement oblige ! D’ailleurs sait-elle ce qu’est un coiffeur ? Pas si sûr, Raiponce a passé tellement temps en confinement, elle se rappelle à peine comment c’était avant.

Raiponce fait du sport. Non, ce n’est pas une esthète, elle fait du sport parce que c’est bon pour elle, une autre manière de s’aérer l’esprit.

Bien que confinée, elle ne s’en sort pas si mal sur le plan psychologique. Bon ok, sauf pour le lézard, son meilleur ami, qu’elle habille, fait chanter… Ca c’est vrai que c’est un peu limite, mais pour ce qui est de la routine, elle est plutôt au top.

Voici donc la routine de Raiponce…

Un peu de ménage et ce tous les jours

Maline Raiponce… car effectivement, plutôt que de faire le ménage 1 fois par semaine, elle en fait un petit peu tous les jours. Cela ne lui prend que 15 minutes (ah tiens, ça fait un peu penser à la méthode Flylady…) et son intérieur est toujours nickel.

Elle choisit le moment où elle est le plus disposée à accomplir cette tâche : le matin. Après ça dépend des personnes, il convient donc de choisir son horaire pour faire le ménage.  La discipline garantit de tenir dans le temps.

Aussi, avoir un environnement désencombré, rangé et propre, participe à avoir un esprit désencombré, rangé et propre. 😉

 

Les activités physiques, créatrices et intellectuelles et ce pour s’ouvrir

Il semble important dans sa routine quotidienne, confinement ou pas d’ailleurs, de choisir des activités qui nous ouvrent : physiquement, énergétiquement et intellectuellement.

Raiponce a choisi la peinture, la guitare, le tricot, le puzzle, les fléchettes, le papier mâché, la danse classique, les échecs, la poterie, les marionnettes, les bougies, la gymnastique, les arts plastiques, la corde, la lecture….

Bon ok, c’est méga ambitieux. Il suffirait déjà de choisir 3 activités qui fassent plaisir à faire et de les intégrer dans une routine quotidienne. Car même si ce sont des activités que l’on fait d’abord pour soi, elles nous relient à l’extérieur, au monde et nous élargissent l’esprit.

 

La cuisine faite maison et ce pour manger mieux et optimiser son budget

Raiponce cuisine elle-même ses gâteaux et ses cookies. Effectivement, rien de tel que le « fait maison » pour manger mieux et sainement. On aurait tendance à privilégier les produits industriels pour des questions de facilité et de temps.

Mais lorsque l’on veut consommer rapidement, nous ne sommes pas en conscience de ce que nous consommons. Prendre le temps de cuisiner, de manipuler les ingrédients, de voir, de sentir, de goûter permettent nourrir une relation harmonieuse avec notre alimentation.

Aussi, un argument non négligeable, c’est le porte-monnaie. On fait des économies en cuisinant soi-même. En faisant l’effort de la conscience de ce qu’on met dans nos assiettes, on est moins tentés, par l’inutile et le superflu.

 

Avoir un super- objectif lointain et ce pour transcender son quotidien

Raiponce a quelque chose au fond d’elle qui la fait tenir au quotidien. Quelque chose de puissant, qui vient mettre de la lumière sur tout, qui chatouille à l’intérieur du ventre, qui donne le sourire à chaque fois qu’on y pense.

Le super-objectif de Raiponce est : d’aller voir le feu d’artifice du 14 juillet ! Et ça quand elle y pense, ça la met en joie. Elle est prête à tout pour atteindre cet objectif.

Avoir un super-objectif lointain permet de retrouver le sourire même lorsque le quotidien n’est pas folichon. Choisir un super-objectif, s’assurer qu’il est spécifique, mesurable, atteignable, dans le temps et écologique (SMARTE), le noter et le relire à chaque coup de mou, et surtout construire le plan d’actions à mettre en place dès à présent pour l’atteindre !

 

Les petits trucs de Mam’coach
  • Faire le ménage intérieur/extérieur
  • Trouver 3 activités faciles à intégrer dans une routine quotidienne
  • Favoriser le « fait-maison »
  • Trouver un super-objectif
  • Faire un travail de fond sur soi avec les piliers de vie : l’intégrité, les besoins, les valeurs, être inconditionnellement positif et constructif, poser ses limites, vérifier le réseau relationnel, rendre le présent parfait.
  • Vous pouvez aussi me retrouver ici pour découvrir mes accompagnements et ateliers.

 

 

Et vous, comment mettez-vous à profit cette période ? Et qu’en pensez-vous, Raiponce ira-t-telle voir le feu d’artifice du 14 juillet ?

 

👍Pour recevoir gratuitement la fiche outil « Construire sa vision de vie », cliquer ici.

👍Si vous voulez faire le point, trouver un plan d’actions qui vous convienne, poser les bases pour vivre pleinement en avançant vers votre super-objectif, vous pouvez me contacter via le formulaire de contact : cliquer ici .

 

 

 

Cars et les positions de vie

Cars et les positions de vie

Je trouve le dessin animé Cars assez utile pour illustrer les positions de vie. Éric Berne (analyse transactionnelle) a émis l’hypothèse que le jeune enfant « possède déjà certaines certitudes sur lui-même et le monde qui l’entoure (…), certitudes qu’il va sans doute conserver tout au long de sa vie et que l’on peut résumer comme suit : je suis ok ou je ne suis pas ok, vous êtes ok ou vous n’êtes pas ok » (positions de vie). 

Dans Cars, on peut observer un personnage gagner en humilité en même temps qu’il renforce une reconnaissance positive saine de lui-même. Cette estime de soi est un enjeu pour nous tous. Se sentir bien avec soi est une condition nécessaire pour vivre une vie heureuse et épanouie. Là où je trouve que l’estime de soi prend tout son sens, c’est quand elle ne se fait pas au détriment des autres. Elle permet d’améliorer sa communication et ses relations avec les autres..

Inspirons-nous donc du dessin animé Cars…

Cars : l’histoire

D’une position de vie ok / pas ok (+/-)…

Flash McQueen est une petite voiture rouge qui rêve de remporter la fameuse course automobile de la Piston Cup pour devenir célèbre.

Lors de la finale du championnat, alors qu’il mène largement la course, ses pneus arrière éclatent. Il parvient à terminer la course de justesse, mais franchit la ligne d’arrivée exactement au même moment que deux autres voitures. Cette situation a pour conséquence d’organiser une nouvelle course pour départager les trois vainqueurs.

Ainsi, Flash McQueen et son unique ami, le camion qui le transporte, partent pour Los Angeles. Afin d’être les premiers à arriver, Flash McQueen demande au camion de rouler toute la nuit. Mais celui-ci s’endort…

Flash McQueen se réveille en sursaut au milieu de la route. Il panique jusqu’à ce qu’il arrive subitement dans la ville de Radiator Springs après un accident où il a causé de gros dégâts.

Le lendemain matin, Flash McQueen se réveille en prison. Il est condamné à réparer la route. Après une tentative d’évasion, il se résigne à réparer la route mais bâcle le travail. Tout est à refaire. Ses comportements sont à la limite du mépris.

…à une position de vie ok / ok (+/+)

Fatigué d’entendre les complaintes de la voiture de course, Doc Hudson défie Flash McQueen de le battre à la course. Si Flash McQueen gagne, il pourra partir librement, s’il perd, il devra réparer la route. Flash arrive trop vite sur un virage et se plante. Doc est déclaré vainqueur.

Plus tard, la ville découvre que Flash McQueen a fini de réparer une portion de route et tous sont étonnés par la perfection de son travail. Dans le même temps, le Shérif a autorisé Flash à s’entraîner sur le circuit de terre, sous sa surveillance. Flash essaye désespérément de passer le virage problématique, mais échoue sans arrêt.

Un jour, alors qu’il cherche le Shérif, Flash McQueen se retrouve dans le garage de Doc et découvre son secret : Doc est en réalité Hudson Hornet, une légende des circuits, ayant remporté la Piston Cup trois fois d’affilée ! Il est très impressionné, par conséquent il va le respecter en tant qu’individu et échangera avec lui des signes de reconnaissance positifs.

Cette découverte ouvrira un nouveau champ de vision à Flash McQuenn. Les habitants de la ville vont devenir ses amis, ainsi qu’une équipe de travail, il se crée un nouveau cadre d’épanouissement personnel, où chaque protagoniste se respecte.

 

Les positions de vie, allons plus loin…

Lorsqu’on a une estime de soi basse, on a tendance :

– à se dévaloriser et dévaloriser les autres (position -/-)

– à se dévaloriser et valoriser les autres (position -/+)

Dans Cars, le protagoniste a tendance à se valoriser, au détriment des autres. Ses ambitions étant la célébrité, les paillettes et la vie de star.

Lorsque Flash arrive dans la petite ville, on voit clairement qu’il dévalorise ses habitants. Il se sent supérieur parce qu’il est une voiture de course. Son état d’esprit et son sentiment de supériorité lui donnent une vision négative de la ville et de ses habitants. Il est dans une position de vie +/- : il se valorise et dévalorise les autres.

En découvrant le passé de Doc, en prenant conscience de ses limites sur le circuit et en découvrant réellement les habitants de la ville, il gagne en humilité. Il se rend compte qu’il n’est pas meilleur que les autres, et que les autres ne sont pas meilleurs que lui. Les personnes qu’ils avaient prises pour « des nuls » deviennent de précieux soutiens. Leurs différentes approches permettent de renforcer l’estime de soi de Flash, il a dorénavant un environnement positif pour progresser. Flash a atteint l’attitude d’une position +/+, on se valorise et on valorise les autres.

Dans son propre développement, lorsque l’on a atteint cette position, on se sent en sécurité, pas en concurrence, on peut s’encourager soi, encourager les autres, tout semble possible, dans des relations harmonieuses, bienveillantes et confiantes.

L’estime de soi, l’outil pour se situer…

Une personne avec une estime de soi haute et stable :
  • est calme et sociable,
  • se sent égale aux autres,
  • a de l’humour,
  • écoute, ne cherche pas déstabiliser
  • n’est pas tendue si on la contredit.
Une personne avec une estime de soi haute et instable :
  • réagit avec vigueur à la critique, elle doit faire taire la menace,
  • a tendance à monopoliser le temps de parole,
  • sera irritée et essaiera de prendre le dessus par une plaisanterie agressive ou par une critique si on la contredit,
  • est une personne qui lutte contre une image plus fragile d’elle-même qu’elle ne veut l’avouer.

 

Une personne qui a une estime de soi basse et stable/instable :
  • a des difficultés d’adaptation,
  • se montre défensive, contrôlante,
  • perçoit souvent l’autre comme menaçant ou source d’humiliation et de rejet,
  • a du mal à̀ communiquer honnêtement,
  • doute de l’amour qu’on lui porte, fait parfois preuve d’une jalousie maladive,
  • cherche plus à être acceptée que d’affirmer son point de vue,
  • recherche les compliments.

 

A la lumière de ces caractéristiques, on comprend mieux à quel point avoir des problèmes de confiance en soi peuvent jouer un rôle dans une vie d’adulte. D’où l’enjeu dans un coaching de traiter la relation à l’estime de soi de manière systématique…

 

Les petits trucs de Mam’coach

  • Pour travailler son estime de soi, on peut s’inspirer des personnes qui semblent avoir une estime d’elle haute et stable.
  • Se poser la question : qu’est-ce qui nous fait dire que cette personne a une estime d’elle haute et stable en elle ? Cela peut-être un sourire à toute épreuve, de la répartie, une capacité à s’adapter à des situations différentes…
  • Une fois les critères listés, les classer par ordre d’importance, puis mettre une note sur là où vous en êtes aujourd’hui par rapport à ce critère.
  • Enfin, se demander quelle action mettre en place pour passer au niveau supérieur.

 

Pour recevoir mes mails, tous les mercredis à 8h, cliquer ici .

Pour recevoir gratuitement la fiche outil « Construire sa vision de vie », cliquer ici.

Vous pouvez aussi me retrouver ici pour découvrir mes accompagnements et ateliers.

 

 

 

 

La Barrière de corail, quand Vaïana sort de sa zone de confort

La Barrière de corail, quand Vaïana sort de sa zone de confort

 

J’adore le dessin animé Vaïana ! L’histoire est belle, l’héroïne courageuse, les messages criants de vérité…. L’histoire de Vaïana illustre aussi parfaitement un grand sujet de développement personnel : la zone de confort. Dans le dessin animé, elle est délimitée par la barrière de corail, celle-ci matérialise la limite à ne pas franchir.

Dans notre vie, nous avons tous une zone de confort très bien délimitée par une zone de peur, tel le récif dans Vaïana. Est-ce qu’on s’en rend compte dans son quotidien ? Pas forcément, car on s’y sent en sécurité, elle est la zone de confiance, de nos habitudes. En tout cas, tant qu’on n’est pas titillé par l’envie d’aller voir ce qui se cache au-delà de la barrière…

Nous allons donc nous servir de l’histoire de Vaïana pour illustrer la zone de confort et faire un travail dessus avec des outils de coaching.

 

Vaïana : l’histoire

L’océan choisit Vaïana, fille d’un chef d’une île polynésienne, pour redonner son cœur à Te Fiti une déesse.

Alors que la petite fille est tournée vers l’océan, l’horizon et le goût de l’aventure, ses parents essaient de l’en éloigner pour la préparer à devenir la cheffe de l’île.

Vaïana grandit et l’île commence à éprouver des difficultés : les noix de coco pourrissent et les poissons viennent à manquer. Vaiana suggère alors d’aller chercher des poissons au-delà de la barrière de corail.

Tala, la grand-mère de Vaiana, dévoile à Vaiana une grotte secrète qui cache de nombreux bateaux, et explique à Vaiana que les habitants de l’île étaient autrefois de grands voyageurs. Sur son lit de mort, Tala dit à Vaiana de commencer son voyage pour rendre son cœur à la déesse…

 

La zone de confort

 

La zone de confort est par définition la zone où nous nous sentons bien. Nous la connaissons parfaitement, tout est sous contrôle.  On ne prend pas de risques, c’est comme notre monde, c’est bien, c’est tout. Allez voir plus loin ? Pour quoi faire ? Non, c’est ok comme ça.

Même si on se plaît à rêver de changement, on se dit que ce n’est pas pour nous. Il vaut mieux rester sur ce que l’on connaît déjà. D’ailleurs, on va même trouver du négatif à ce qui nous fait rêver. De peur finalement que ça arrive pour de vrai…

Un jour, cette zone de confort devient inconfortable. Telle l’île de Vaiana qui commence à être un endroit où il ne fait pas bon vivre. Les fruits ne sont plus nourris, il n’y a plus de croissance, ils commencent à pourrir. Ce qui allait si bien devient dérangeant, irritant. Si bien, que l’idée de sortir de cette zone de confort se fait sentir.

 

 

La zone de peur

 

Oui, mais voilà, à peine a-t-on sorti un pied de la zone de confort que nous avons déjà un pied dans la zone de peur. Cette zone est gérée par le Critique Intérieur. Celui-ci va faire douter, créer du stress, des peurs. Il va poser des questions comme es-tu sûr de vouloir quitter la zone de confort ? Est-ce que tu vas réussir ? Et de renchérir… Franchement tu ferais mieux de revenir en arrière, c’est trop dangereux pour toi. Tu ne vas pas y arriver. Allez, reviens à la raison…

Est-ce que cette zone de peur est infranchissable ? Non, bien sûr que non. Il est possible de dialoguer avec son critique intérieur, de lui offrir une nouvelle manière de penser pour éviter la panique.

Déjà, il faut lui démontrer que la situation dans la zone de confort inconfortable n’est plus tenable, en se posant la question suivante : qu’est-ce qui va arriver si je reste dans cette situation ? Dans 3 mois ? 6 mois ? 1 an ?

Effectivement, à ne pas vouloir franchir la zone de peur, ne pas oser, il est fort probable que la situation se dégrade

Et maintenant, se demander : qu’est-ce que j’ai à y gagner à sortir de cette situation ? Dans 3 mois ? 6 mois ? I an ?

Là, il est fort probable que vous pensiez déjà mettre en place de nouvelles actions, et commencer à franchir la zone de peur pour vous trouver dans la zone d’apprentissage.

 

 

La zone d’apprentissage

 

Vaïana prend la mer alors qu’elle ne sait absolument pas naviguer, elle va apprendre de nouvelles compétences. Ce n’est pas parce que l’on a franchi la zone de peur que tout est gagné d’avance. Réussir tout absolument tout du 1ercoup et ce de manière parfaite ? Cela paraît bien trop facile… Cela voudrait dire que nous sommes retournés tout droit dans la zone de confort inconfortable.

A chaque action mise en place, il convient de se demander ce qui a été réussi, ce qui l’a été moins. On ne va pas parler d’échec mais de feed-back. C’est-à-dire que l’on va voir ce qui peut être amélioré… jusqu’à ce que cela nous convienne. Un premier pas, puis un deuxième, … ces défis fournissent une réponse appropriée à la gestion de la peur lorsque l’on franchit la zone de confort.

Pour continuer d’avancer, l’important c’est de garder en vue l’objectif final. Et pour l’atteindre, il y aura des sous-objectifs, eux-mêmes représentés par des actions à mettre en place. Ce sont tous ces petits pas qui permettent d’avancer dans la zone de rêve.

 

Les petits trucs de Mam’coach

  • Repérer quand la zone de confort devient inconfortable. Le changement est un état d’esprit, plus on pratique, plus c’est facile.
  • Dialoguer avec son critique intérieur, à chaque crainte lui fournir une réponse circonstanciée.
  • Avoir en tête un ou des objectifs situés dans la zone de rêve.
  • Mettre en place les actions appropriées pour dépasser la zone de peur et savourer son passage dans la zone d’apprentissage.

 

Pour recevoir mes mails, tous les mercredis à 8h, cliquer ici .

Pour recevoir gratuitement la fiche outil « Construire sa vision de vie », cliquer ici.

Vous pouvez aussi me retrouver ici pour découvrir mes accompagnements et ateliers.